« L’homme moderne ne chasse plus avec des armes, mais avec des mots. »
Chaque mois, un fragment du Journal du Prédateur s’ouvre comme une incision. Un texte bref, précis, sans indulgence. Pas de morale. Pas de consolation. Seulement la vérité nue de la manipulation, du pouvoir et de la psychologie de ceux qui refusent de rester du côté des proies.
Le monde civilisé adore se raconter qu’il est gouverné par la raison, la bienveillance, la transparence. C’est confortable. Faux, mais confortable. Derrière les discours, il y a les architectures invisibles : décisions prises à huis clos, récits fabriqués, mots choisis pour anesthésier plutôt que pour éclairer. Le prédateur moderne ne porte pas d’armes. Il porte un langage. Une posture. Une capacité à voir ce que les autres ne veulent pas regarder.
Dans le Journal du Prédateur, on ne parle pas de développement personnel, on parle d’autopsie. Autopsie des systèmes, des entreprises, des couples, des foules. On y dissèque la persuasion, la peur, la loyauté, l’obéissance. On y apprend à repérer les fils qui nous tirent et à distinguer ceux qu’il vaut mieux couper de ceux qu’il faut tenir fermement.
Ce journal n’est ni un programme de réussite, ni une promesse de bonheur. C’est une initiation à la lucidité. Lire ces fragments, c’est accepter que votre regard sur les autres – et sur vous‑même – ne sera plus tout à fait le même. C’est comprendre que l’innocence est une posture, pas un état. Et que le véritable pouvoir commence le jour où l’on cesse de se mentir sur la nature du jeu.
Si vous cherchez un refuge, passez votre chemin. Si vous voulez voir les mécanismes sous la surface, entrez. Chaque mois, un e‑mail. Une scène. Un angle mort éclairé. Un rappel froid : dans un monde qui préfère dormir, l’insomnie est une forme de souveraineté.
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